Embêté par la HALCIA, la gendarmerie, la Justice et la Société Civile à propos du dossier de l’enrichissement illicite et de bien d’autres contentieux qui l’opposent à ses administrés et aux travailleurs de la Mairie, Kassoum Moctar, adepte de la communication tout azimut, un temps s’est comme éclipsé de la circulation.
Pendant plus d’un mois, on entendait plus sa voix sur les ondes locales, alors qu’auparavant, il ne se passait pas une journée sans que sa voix ne résonne ans les transistors. Le silence du « petit » a duré jusqu’au 2 avril dernier. Profitant de l’arrivée du président de la république et de la tenue des journées des communes à Maradi, il s’est retrouvé tout naturellement sous les feux des projecteurs. Et depuis lors, il enchaine les chrysanthèmes.
Toujours avec le même mode opératoire : Cérémonie protocolaire, banderoles, prospectus, discours et discours, ségrégation dans le traitement des médias, factures impayées, … Soutenu implicitement par son grand frère de franc maçon, le président Issoufou pour qui il multiple les yeux doux, Kassoum Moctar considère désormais que les investigations de la HALCIA et de la Justice ne sont que de simples allégations et les accusations de la Société Civile, de simples gesticulations.