Bazoum qui affirmait, il y a quelques mois, qu’une élection sans second tour est improbable au Niger a revu sa copie pour soutenir que c’est désormais possible. Les oulémas ne sont pas non plus épargnés, les ventres mous d’entre eux commencent déjà à vociférer sur la fiabilité du Fichier électoral comme s’ils en étaient des spécialistes ou à tout le moins des agents recenseurs.