Le Mer 16 mai 2012
Au Niger, comme on a eu à le dire dans notre précédent numéro : les instituts et écoles privées poussent comme des champignons sans respecter les règles en la matière.
Ce qui nous a conduit à nous intéresser d’abord à une école de la place située au quartier Banizoumbou dont le fondateur est un expatrié un ex gérant du bar « Le Tropic », miraculeusement il s’est retrouvé dans le domaine éducatif et possède aujourd’hui une école privée nommée «ESCAE ». Dans notre précédente livraison, nous avons parlé du comportement du « sieur » Victor Akessé fondateur de l’ESCAE, un comportement « d’enfant gâté » belliqueux, irrespectueux bref un mépris total à l’encontre de son corps professoral.
La grande majorité des enseignants ont préféré quitté, d’autres, soit pour aller dispenser leurs connaissances, pour certains créer leurs propres écoles car disposant de tous les acquis. Aujourd’hui Victor Akessé avec le départ massif de ses enseignants se mord présentement le doigt, mais il est déjà trop tard, il n’a qu’à s'en prendre à lui-même pas quelqu’un d’autres. Le fait de se plaindre chaque fois des autres fondateurs n’est pas la solution, il faut changer de comportement et vous verrez que tout ira pour le mieux, c’est parce que « je ne suis pas nigérien » rétorque-t-il souvent, n’est pas la meilleure formule .