Le Dim 26 fév 2012
Publié par l'Actualité
Le ridicule ne tue pas. Cette assertion se trouve d’autant plus justifiée que nous assistons, depuis un certain temps, à un tapage médiatique savamment orchestré par des hommes véreux, mafieux, malveillants, menteurs, falsificateurs, et, malheureusement, qui ont su trouver un siège au niveau de la Représentation nationale.
Au nombre de cette catégorie d’individus, figure un certain Zakou Djibo alias ‘’Zakai’’. Ce personnage, lugubrement politico-financier, analphabète de son état, ayant bénéficié de certains droits illicites d’accès aux marchés publics, s’est bâti une fortune plus ou moins mirobolante grâce à des passe-droits illicitement acquis. Et, comme le ridicule ne tue pas, voilà que c’est le voleur qui crie au voleur.
En effet, bénéficiant des réseaux qu’il a eu à tisser tant au niveau de l’administration publique qu’a celui des entreprises (Epac, Epic et autres sociétés d’Etat et ou d’économie mixte, etc…), le sieur «Zakaï» a pu s’approprier d’un certain nombre de dossiers 11 précisément- relatifs à des acquisitions de marchés concernant d’autres opérateurs économiques de la place. Sur la base de ces documents, l’homme, en bon faux-fuyant, se plaît à dénigrer d’honnêtes hommes d’affaires sur lesquels, contrairement à lui ne plane aucune zone d’ombre quant à leur gestion et à leurs différentes soumissions aux marchés publics. Mais, il n’en a cure pensant que tout le monde est comme lui, c’est-à-dire bénéficiant de la couverture et du laxisme des pouvoirs publics.
Assurément, il s’est non seulement trompé d’époque mais il manque également d’arguments pour doigter, à fortiori accuser ceux qu’il considère comme des auteurs de malversations de tous genres. Jugez-en plutôt :