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REJET DU VOTE DES NIGÉRIENS À L’EXTÉRIEUR DU CALCUL POLITICIEN AU CANNIBALISME POLITIQUE...
Le Mer 15 sept 2010
Le Mer 15 sept 2010
Le Mer 15 sept 2010
COLONEL GOUKOYE, PORTE-PAROLE DU CSRD SUR LA TÉLÉVISION NATIONALE
Le Jeu 09 sept 2010
Écrit par A.I. (Le Canard déchaîné N° 444 du 6 septembre 2010)

ASSAINISSEMENT: LES RÉVÉLATIONS FRACASSANTES DE LAMINE ZEINE
Le Jeu 09 sept 2010
Le Jeu 09 sept 2010
Écrit par Norbert (Le Courrier N° 121 DU 06 Septembre 2010)
Le jeudi 2 septembre 2010, le Conseil Suprême pour la Restauration de la Démocratie (CSRD) a rendu publique ses amendements sur l’avant-projet de constitution. Entre autres amendements apportés par la junte militaire, la suppression de l’exigence de BAC + 3 pour le candidat aux élections présidentielles. Il faut signaler que cette disposition de l’avant-projet de constitution a fait l’objet de tiraillement. D’abord au Conseil Consultatif National (CCN) où faute de consensus, il a fallu passer au vote pour départager les partisans du maintien de cette disposition et les opposants. C’est à 46 voix pour contre 42 que le CCN avait entériné le maintien de cette disposition de l’article 47. Mais le débat était loin d’être fini. Il fut transporté dans la rue par les parties politiques de l’Alliance des Forces Démocratiques pour la République (AFD/R) avec à leur tête le Mouvement National pour la Société de Développement (MNSD Nassara) dont justement le candidat investi aux prochaines présidentielles en la personne du président du Parti, Seini Oumarou ne remplissait pas la fameuse condition de BAC + 3.
APRÈS LA LEVÉE DU VERROU BAC + 3 : SEÏNI OUMAROU INÉLIGIBLE ?
Le Jeu 09 sept 2010
Écrit par Asy (L’ACTUALITE N° 56 DU 7 SEPTEMBRE 2010)
Les partisans de Seini Omar applaudissent, ils jubilent depuis que le Conseil suprême pour la restauration de la démocratie a sauté le verrou du Bac + 3 pour être candidat à la présidentielle et la limite d'âge. Ainsi, ils se disent que désormais rien n'empêchera au président du MNSD-NASSARA investi par sa formation politique comme candidat aux prochaines élections présidentielles au début du mois d'août à Tillabéri à l'occasion d'un congrès ordinaire, de se présenter. Seulement, il se trouve que ce n'est pas fini pour Seini Oumarou et ses partisans. Cet homme qui aspire à diriger le pays a commis des impairs. Il y a tout d'abord cette affaire de curriculum vitae trafiqué. On se rappelle que pour mieux se présenter, le premier ministre qu'il était par la grâce de l'ex-président Tandja Mamadou, après le limogeage de Hama Amadou, il a été publié un CV dans lequel le président du MNSD-NASARA a écrit avoir obtenu le Bac G en 1970 au Lycée technique de Maradi. Or les investigations menées par ses adversaires politiques ont démontré qu'il n'y avait pas ce Bac là, l'année précitée. La précision est que c'est seulement en 1972 que la première promotion des bacheliers est sortie du Lycée technique de Maradi, dénommé plus tard Lycée technique Dan Kassawa. Ensuite toujours dans le CV, il était question d'un diplôme obtenu à Lyon en France. Ce diplôme supérieur d'une école de commerce pose problème également parce qu'il semblerait qu'il n'y avait aucune trace du passage de Seini Omar dans cette école.
Des évangélistes américains invitent à brûler un coran
Le Mar 07 sept 2010
Publié par le quotidien le FIGARO
Ce n'était au départ que le projet d'une poignée d'évangélistes américains. C'est aujourd'hui une polémique mondiale. L'intention affichée du Dove World Outreach Center, une église fondamentaliste de Floride, de brûler en public un coran à l'occasion du 11 Septembre a forcé le général David Petraeus en personne à intervenir.
Dans un communiqué, le commandant des forces militaires en Afghanistan souligne le danger que l'autodafé ferait courir aux troupes américaines. «Les images d'un coran en flammes seront sans aucun doute utilisées par les extrémistes en Afghanistan et dans le monde pour exciter l'opinion et inciter à la violence.» L'ambassade américaine à Kaboul a de la même manière condamné cette «tentative délibérée d'insulter une communauté». Mardi, la Maison-Blanche s'est dite préoccupée par la situation.