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Actualités
Le Sam 20 mars 2010
Mamoudou Djibo doit se taire
Écrit par A S (Le Courrier N° 96 DU 18 MARS 2010)
Le Sam 20 mars 2010
L’ALMANACH DES TAZARCHISTES
Écrit par Ayouba Karimou (OPINIONS N° 102 du 17 Mars 2010)
DÉMÉNAGEMENT FORCÉ AU CESOC: Le président s’empare du groupe électrogène !
Le Sam 20 mars 2010
DÉMÉNAGEMENT FORCÉ AU CESOC : Le président s’empare du groupe électrogène !
Écrit par Lamine SOULEYMANE (Roue de l’Histoire n° 499 du 17 Mars 2010)
A la demande des nouvelles autorités de Niamey semble-t-il, l’institution dirigée par le président du RSD-Gaskiya Cheiffou Amadou a été vidée la semaine dernière de tous les biens meubles et autres logistiques. Selon les riverains du CESOC, c’est à bord d’un grand camion que tous les effets ont été transportés vers un lieu sûr. Dans cette précipi tation née de déguerpissement forcé, on apprend que le président du Conseil Economique Social qui ne s’attendait pas à une telle opération et sans nul doute offusqué par cet empressement, se serait emparé d’un groupe électrogène. Selon nos sources, après avoir repris son souffle, l’ex président s’étant rendu compte que cette machine très prisée en cette période de délestage ne lui appartient pas, va ordonner son renvoi illico presto. Il va même par la suite s’assurer si cette machine est remise à qui de droit. Par ailleurs, on apprend aussi que le contrat de location du siège abritant le CESOC a même été résilié. Nul ne sait pour l ’ instant les vraies raisons de ce déguerpissement, mais à première vue le CESOC qui a établi son quartier général sis à l’immeuble Mereda, est en passe d’être enrayé de ces institutions nées au lendemain des élections de 2004.
Le Mer 17 mars 2010
GESTION DE LA TRANSITION PAR LE CSRD: OBLIGATION DE RESULTATS...
Le Mer 17 mars 2010
Le Mer 17 mars 2010
Hama Amadou bientôt à Niamey
Écrit par Le Canard déchaîné N° 419 du 15 mars 2010
L’information est officielle. La Justice vient de lever les faux mandats d’arrêts contre les personnalités politiques dont Hama Amadou. Ce dernier qui devrait rentrer normalement après le coup d’Etat a pris tout son temps pour rester quelques moments à l’extérieur. Les raisons sont toutes simples : après le coup d’Etat, il a décidé de ne pas rentrer rapidement pour ne pas « gêner » les nouvelles autorités en place et éviter ainsi d’être qualifié comme le parrain du coup d’Etat. Il a profité de son séjour prolongé pour remercier tous les pays et les amis qui l’ont aidé et soutenu dans cette rude épreuve. A présent que tout est rentré en ordre, il sera bientôt parmi nous.
L’AUTOCRATISME REVOLU AU NIGER ?
Le Ven 05 mars 2010
L’autocratisme révolu au Niger ?
Écrit par STJ (Roue de l’Histoire n° 497 du 03 Mars 2010)
Le nouveau chef d’Etat du Niger, le chef d’escadron, Salou Djibo s’est adressé solennellement à la Nation dans la nuit du dimanche 29 février au lundi 1er mars 2010. Cette déclaration, la première du genre de la part du nouveau chef de l’Etat du Niger, a permis de voir le personnage, en chair et en os et surtout de visage complet. Ce qui importe beaucoup dans cette apparition du chef de la nouvelle junte militaire nigérienne, c’est moins la présentation et la mise du personnage que ses propos, martelés d’une voix fraîchement sortie de l’anonymat.
LE SORT QUI ATTEND L’ANCIEN PRESIDENT: TANDJA SERA JUGE...
Le Ven 05 mars 2010
Le sort qui attend l’ancien président: Tandja sera jugé...
Écrit par Norbert (Le Courrier du N° 94 DU 4 MARS 2010)
Quel sort pour l’ancien président Mamadou Tandja ? Plus de deux semaines après le coup d’Etat qui l’a renversé, la question reste toujours d’actualité. Selon des nombreuses supputations, Mamadou Tandja sera traduit en justice pour crimes politiques et économiques. En attendant que les choses se précisent, les investigations se poursuivent. On parle de plusieurs dossiers qui sont en train d’être passés au peigne fin. Six (6) ministres, les plus importants du système de la « Refondation de la République » sont détenus entre les mains de la junte et auraient fait plusieurs aveux. Il s’agit de l’ancien Premier Ministre, Ali Badjo Gamatie, des anciens ministres Abouba Albadé de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de la D é c e n t r a l i s a t i o n , Mahamane Ali Lamine Zeine de l’Economie et des Finances, Garba Lompo de la Justice et de Mohamed Abdoulahi des Mines et de l’Energie. Vrai ou faux, on susurre l’interpellation de l’ancienne Ministre de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire, Mme Afizou Saadé Soulèye, la gardienne des affaires du Programme Spécial de Mamadou Tandja, un dossier qui continue à faire couler beaucoup d’encre et de salive. Outre les soupçons de crimes économiques qui pèsent sur sa tête, Tandja est responsable d’une autre catégorie de crime de lèsemajesté, à savoir le crime politique. La violation de la loi fondamentale par Tandja et ses acolytes, elle, n’a pas besoin d’une quelconque investigation.
Le crime politique de Tandja est avéré par une succession d’événements : dissolution de la Cour Constitutionnelle de Madame Salifou Fatimata Bazèye, suspension de certains articles de la Constitution du 9 août 1999, organisation du référendum du 4 août 2009…, tout cela en violation de la loi fondamentale du pays, toutes choses condamnées par l’écrasante majorité des Nigériens et la Communauté Internationale. L’un dans l’autre, le jugement de Tandja est attendu avec une certaine passion. Pour des nombreux observateurs, il faut faire un exemple, un bon exemple, battre les morts pour faire peur aux vivants.