Que ne fait pas l’Assemblée Nationale du moment que ferait une autre qui serait mise en place demain ? Pardon, cette question est non seulement mal posée mais aussi biaisée. Disons plutôt : « qui n’est pas à l’Assemblée Nationale qui devait y être si jamais on reprenait les élections ? ».
Et, dans le même ordre d’idées, on aura très certainement des gens qui y sont et qui ne reviendraient plus si jamais on reprenait les élections législatives. Voilà somme toute les deux grandes visées des uns et des autres ; deux options qui n’ont pratiquement aucun avantage pour le peuple ; pas en ce moment où tout semble tourner rond pour notre pays avec cependant des menaces inéluctables sur le plan sécuritaire. 1er fiasco : il y a certes des ressources pour notre pays Mais, faudrait- il que ces ressources servent toujours à organiser des scrutins qui n’ont pratiquement aucun enjeu si ce n’est celui de répondre aux desideratas d’un groupe d’individus éconduits par leurs propres inconséquences ?
Car, il faut bien le rappeler que c’est parce que leur staff a présenté des dossiers erronés que la plupart de ces frustrés ne sont pas arrivés à l’Assemblée Nationale. On ne servira donc pas à notre pays ce fiasco de réinjecter encore l’argent du contribuable dans des élections inopportunes. 2ème fiasco : on le sait bien, il y a dans ce pays des gens qui brillent par un excès d’orgueil qu’ils aiment à faire voir comme un chauvinisme au service de l’Etat. Non ! C’est plutôt un orgueil erroné qui leur fait croire que rien ne peut marcher dans ce pays sans eux. Ce qui est archi faux car, de tous les temps où ils ont été aux affaires de ce pays, ils n’ont fait qu’étalage d’inconséquences en tout genre.