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Actualités

C.I : le camp Gbagbo appelle à l'assaut contre le QG de Ouattara

Le Jeu 30 déc 2010

Ecrit par BIACORP

 Les partisans de Laurent Gbagbo ont appelé mercredi à prendre d'assaut le quartier général de son rival Alassane Ouattara à Abidjan, protégé par les Casques bleus de la mission onusienne en Côte d'Ivoire, qui a dénoncé les "appels à la haine" à son encontre.

Après avoir reporté - en signe d'apaisement durant les négociations diplomatiques en cours - un grand rassemblement prévu ce mercredi à Abidjan, le leader des "jeunes patriotes" pro-Gbagbo a signifié que l'heure de l'affrontement était proche, à l'issue d'un mois de crise née de la présidentielle du 28 novembre.

Levée de l’immunité de Tandja : La fin des fins...

Le Sam 25 déc 2010

Ecrit par BIACORP

   Il vous souviendra que sur requête du tribunal de Grande Instance Hors Classe de Niamey, les membres de la Cour d’Etat, toutes Chambres confondues, ont eu à se prononcer sur la levée de l’immunité de l’ex-Président Tandja Mamadou. C’était le mardi 14 décembre dernier. Qu’est ce qui a suscité la levée de cette immunité ? Les faits L’ex-président Tandja Mamadou a été élu à la magistrature suprême sur la base de la Constitution de la 5e République, adoptée par référendum le 18 juillet 1999 puis promulguée le 9 août 1999. Cette Constitution stipulait que le mandat du Président de la République est de cinq (5) ans, renouvelable une seule fois. C’est ainsi qu’il sera élu pour un premier mandat de 1999 à 2004, puis sera réélu pour un deuxième et dernier mandat qui devrait normalement prendre fin le 22 décembre 2009. Contre toute attente, à quelques mois de la fin de son deuxième et dernier mandat, Tandja Mamadou décidera d’organiser un référendum constitutionnel devant lui permettre de conserver le pouvoir pendant trois (3) années supplémentaires.

Il convoquera, à cet effet, le corps électoral par décret n°2009-178/PRN/MI/SP/D du 5 juin 2009, pour la tenue du référendum de la 6ème République. La Cour Constitutionnelle, saisie par un groupe de partis politiques, a rendu un arrêt le 12 juin 2009, annulant le décret portant convocation du corps électoral. Suite à cet arrêt, le Président Tandja procédera à la dissolution de l’Assemblée Nationale puis de la Cour Constitutionnelle. Il passera outre pour faire adopter, le 4 août 2009, une nouvelle Constitution par référendum. En dépit de toutes les tentatives de médiation de la Communauté internationale dont la CEDEAO et l’Union Africaine (UA), il poursuivra son oeuvre de démolition des institutions démocratiques. Ainsi, le 27 octobre 2009, des élections législatives seront organisées pour la bagatelle somme de 10 milliards 863 millions de francs F CFA (10.863.000.000), à la charge de l’Etat nigérien.

CONFÉRENCE PUBLIQUE DU PROFESSEUR ANDRÉ SALIFOU ‘’ Cinquantenaire de l’indépendance du Niger: bilan et perspectives’’

Le Sam 25 déc 2010

Ecrit par BIACORP Le professeur

       André Salifou signe, par la présente, son retour au premier plan sur l’échiquier intellectuel national. Il faut dire que depuis sa fameuse conférence publique de 1983, les nigériens, en dehors de la conférence nationale souveraine, ont eu peu d’occasions d’entendre l’homme du « coupez-le ». Quelques jours avant la dernière conférence du professeur, celui-ci a, sur instruction du président du conseil suprême pour la restauration de la démocratie, contribué à résoudre la crise universitaire née de la volonté malencontreuse d’un gouvernement dont l’incompétence est de notoriété publique. André est donc de retour. Ce retour, il va le signer au travers du « speech » tenu le vendredi 17 Démembre 2010 dans l’amphithéâtre 1000 places de la FSEJ. Pour un retour, ce fut, il faut l’avouer, un retour triomphal. La foule était au rendez-vous au point où le lieu choisi par le SNECS emblait petit pour contenir tout le monde. Malgré le grand nombre, il n’y a pas eu de « chahut », mot abondamment utilisé par le même André durant les travaux de la conférence nationale souveraine de 1991. Il faut préciser que la dite conférence fait partie des cycles de conférences du SNECS et que c’est sur invitation du syndicat que le professeur va intervenir pour entretenir l’assistance sur un problème majeur : le cinquantenaire de l’indépendance du Niger. Est-il besoin de présenter la biographie de celui qui fut le présiden du présidium du (soviet), pardon, de la conférence nationale souveraine ? André, joue l’histoire, matière dans laquelle il excelle, est né en 1942 à Zinder. Comme il le dit luimême, il est né en période de crise.

POURQUOI ON DOIT INCULPER TANDJA MAMADOU

Le Sam 25 déc 2010

Ecrit par BIACORP

     Incarcéré depuis le 18 février 2010, l’Ex Tandja Mamadou risque de devenir un boulet dans les pieds des autorités actuelles du fait du récent arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO qui avait demandé sa libération pure et simple, au nom du principe qu’on ne doit point garder prison sans chef d’inculpation officiel. Depuis donc cet arrêt, les autorités nigériennes sont embarrassées et tentent de trouver une solution à la fois juridique et politique. C’est ainsi que, sur instructions des plus hautes autorités, l’immunité présidentielle dont jouissait l’Ex vient d’être levée afin de permettre le déclenchement d’éventuelles poursuites judiciaires contre lui dans biens d’affaires où sa responsabilité première pourrait être engagée. Nous profitons de cette occasion à OPINIONS pour saluer cette grande ouverture faite par la Cour de Justice de la CEDEAO pour faire aboutir l’une de nos aspiration légitimes qui était celle de pouvoir traduire un jour Tandja Mamadou devant les Tribunaux pour répondre de tous les crimes économiques, politiques et sociaux qu’il avait perpétrés durant une décennie au Niger.

Laurent Gbagbo propose un comité d'évaluation de la crise post-électorale

Le Mer 22 déc 2010

Ecrit par BIACORP

 Dans une intervention télévisée diffusée sur la RTI - la première depuis son investiture le 4 décembre -, Laurent Gbagbo a appelé à la création d'un comité international d'évaluation de la crise post-électorale et tend la main à Alassane Ouattara.

Lors de sa première allocution télévisée depuis son investiture le 4 décembre, Laurent Gbagbo a appelé mardi soir à la mise sur pied d’un "comité d'évaluation sur la crise post-électorale" en Côte d’Ivoire. S’adressant aux Ivoiriens sur les ondes de la Radio-Télévision ivoirienne (RTI), il a réaffirmé sa légitimité en tant que président de la République désigné par le Conseil constitutionnel - "l'État fonctionne" -, tout en déclarant vouloir "tendre la main à l’opposition" et ne "plus vouloir de guerre".

L’armée ivoirienne au cœur de la rivalité entre Gbagbo et Ouattara

Le Mer 22 déc 2010

Ecrit par BIACORP

  Enjeu majeur du duel que se livrent Gbagbo et Ouattara, l’armée régulière reste majoritairement fidèle au premier. Mais le camp Ouattara mise sur les dissensions au sein des troupes pour changer la donne.Il s’en est fallu de peu, lundi 13 décembre, pour que le quartier chic de Cocody ne devienne la première scène d’un affrontement armé entre les Forces nouvelles (FN, ex-rébellion) fidèles à Alassane Ouattara et l’armée régulière rangée derrière Laurent Gbagbo.

Vers 11h30 (heure d’Abidjan), l’unique route menant à l’hôtel du Golf – où est retranché le gouvernement d’Alassane Ouattara depuis le 7 décembre – est bloquée par des barrages. Au moins une cinquantaine d’hommes les tiennent, notamment des membres de la Brigade anti-émeutes et des bérets rouges de la Garde républicaine (GR), fidèles à Laurent Gbagbo. Face à eux, l’entrée de l’hôtel est solidement gardée par des éléments des FN et des casques bleus de l’Onuci.

L'armée pro-Gbagbo tiendra l'ONU responsable de violences à Abidjan

Le Mer 15 déc 2010

Ecrit par BIACORP

        L'armée loyale à Laurent Gbagbo tiendra "pour responsable" l'envoyé spécial de l'ONU, Choi Young-Jin, de violences qui pourraient survenir lors de marches du camp d'Alassane Ouattara prévues jeudi et vendredi à Abidjan, selon un communiqué lu à la télévision d'Etat.

L'armée loyale à Laurent Gbagbo tiendra "pour responsable" l'envoyé spécial de l'ONU, Choi Young-Jin, de violences qui pourraient survenir lors de marches du camp d'Alassane Ouattara prévues jeudi et vendredi à Abidjan, selon un communiqué lu à la télévision d'Etat.

A propos de ces marches prévues jeudi sur la télévision d'Etat RTI et vendredi sur le siège du gouvernement, "des informations en possession de l'état-major des armées (...) affirment que le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Côte d'Ivoire (Choi Young-Jin), soutient ces projets", indique le communiqué lu par le porte-parole de l'armée.

Wade et Kadhafi réclament les Etats-Unis d'Afrique, avec une seule armée

Le Mer 15 déc 2010

Ecrit par BIACORP

Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, invité mardi au Festival mondial des arts nègres à Dakar, a appelé à créer "une seule armée africaine" et "un seul gouvernement africain", tandis que le président sénégalais Abdoulaye Wade réclamait "l'instauration des Etats-Unis d'Afrique".

Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, invité mardi au Festival mondial des arts nègres à Dakar, a appelé à créer "une seule armée africaine" et "un seul gouvernement africain", tandis que le président sénégalais Abdoulaye Wade réclamait "l'instauration des Etats-Unis d'Afrique".

"Nous sommes en train de vivre un nouvel assujettissement", a lancé le dirigeant libyen, présentant l'Afrique comme "une proie que tous les loups de par le monde veulent dévorer" en pillant ses ressources minières et halieutiques.

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