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Ils étaient plus de 500 participants à l’ouverture, issues de tous les horizons qui se sont retrouvés pour apporter des solutions à la crise que vit notre Justice.

Pour cela, ils ont eu cinq jours pour faire l’état des lieux d’un fondement essentiel pour toute démocratie. Un diagnostic sans complaisance du système devra en sortir.

Au Niger, nous avons moins d’un greffier pour un juge et un pour environ 50 000 justiciable. La lenteur très décriée contre notre système judiciaire trouve ici son explication. Mais outre la lenteur, l’on retient encore d’autres  maux qui ont gangrénés le système comme la corruption ou le trafic d’influence, pour rendre sceptique, nombre de nigériens. Les états généraux, soulignent les organisateurs et pour parler comme eux, devraient ainsi servir de catharsis en vue de la réconciliation des justiciables avec leur justice. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le Chef de l’Etat Issoufou Mahamadou, le lundi dernier en présence de nombreux invités.

Cette rencontre est donc d’une très haute importance, comme le dira le Président Issoufou, lui qui attache un grand prix à une justice pour le peuple. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, le programme de la renaissance prévoit de promouvoir avec la justice, des valeurs comme l’Etat de droit en vue du réarmement moral de notre société et pour le progrès économique et social du pays à travers l’assainissement de la gestion des affaires publiques.

Savez-vous qui on appelle ainsi ? Eh bien, tenez ! Un Ministre « d’à côté » est un ministre qui n’est ni du PNDS ni du LOUMANA, les deux partis ténors de la mouvance au pouvoir.

C’est dans la foulée, des chaudes échauffourées pour le renouvellement des ministres au prochain gouvernement qu’un éminent homme politique se serait prononcé en ces termes : « Tous les ministres d’à côté doivent par tir, sauf Monsieur Cissé bien sûr!». Est-ce une manière malpolie de désigner des collaborateurs avec lesquels on a non seulement conquis le pouvoir mais aussi avec qui on a géré pendant deux années de suite ? Ce n’est pas si évident que ça quand on sait la déception qui a caractérisé l’exercice de la plupart d’entre eux. Ainsi, comme on aurait dû ne pas composer avec eux dès le départ, au moment de la conquête du pouvoir, on s’aperçoit aussi avec amertume que beaucoup sont franchement inutiles dans la marche actuelle de la 7ème République.

C’est ce samedi que le MENA National joue son destin dans le cadre des éliminatoires de la coupe du monde Brésil 2014. Pour cette deuxième journée, l’équipe nationale se déplacera à Pointe Noire, au Congo Brazzaville pour affronter les Diables rouges, match comptant pour la seconde journée de la Poule E. Un match à hauts enjeux pour le Mena qui a une obligation de bon résultat au vu de sa première sortie ratée, le samedi dernier à Niamey. Le Mena avait, en effet, concéder le nul, sur ses propres installations, face aux panthères du Gabon.

C’est ce samedi que le MENA National joue son destin dans le cadre des éliminatoires de la coupe du monde Brésil 2014. Pour cette deuxième journée, l’équipe nationale se déplacera à Pointe Noire, au Congo Brazzaville pour affronter les Diables rouges, match comptant pour la seconde journée de la Poule E. Un match à hauts enjeux pour le Mena qui a une obligation de bon résultat au vu de sa première sortie ratée, le samedi dernier à Niamey. Le Mena avait, en effet, concéder le nul, sur ses propres installations, face aux panthères du Gabon.

Un
coin
de
voile
se
lève sur le sort
du
magistrat
Ibrahim
Oumarou,
déchargé de ses fonctions du procureur de la république près le Tribunal Hors Classe de Niamey (THCN), la semaine passée. Selon une source proche de cette institution judiciaire, la décision de décharger ce juge de ses nobles fonctions au parquet de THCN serait l’œuvre de ses supérieurs hiérarchiques, qui auraient décelé quelques anomalies dans le traitement dont a été l’objet le dossier relatif aux faussaires de la douane, gardés en détention préventive à la prison civile de Niamey pour pratiques déloyales, avant d’être mis en liberté provisoire, il y a quelques semaines.

Depuis quelques temps, un bruit faisant état d’une prochaine installation d’usine de canne à sucre semble avoir droit de cité dans la capitale régionale Dosso. C’est ainsi que, du stade de rumeur, cette nouvelle commence à prend forme tant dans les esprits que sur le terrain.

En effet, une société chinoise s’était intéressée à ce dossier d’installer cette usine dans une localité de la région de Dosso. Des études de faisabilité ayant permis d’identifier et de répertorier les potentialités répondant aux exigences d’un tel projet avaient été menées sur le terrain courant février 2012 par la dite société. Dans le même ordre d’idée, une seconde mission composée d’experts chinois et de techniciens Nigériens avait sillonné du mercredi 23 au vendredi 26 mai, un certain nombre de localités de la région pouvant abriter la réalisation de ce projet.