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Actualités
Plusieurs Officiers Supérieurs des Douanes interpellés à la P.J. suite de l'affaire
Le Lun 05 mars 2012
Par Biacorp
Le Directeur Général des Douanes, Ibro Salifou; les anciens chefs de bureau de Gaya notamment le Colonel John, le Colonel Abdallah, le chef du bureau des douanes de Téra et de quatre de ses agents, etc. ; également le chef de bureau des douanes de Torodi, le Colonel Ada Zaroumèye;
Les opérateurs économiques Morey Seydou, Houddou Hounnoussa, Abdi Ahmed, Moussa Laragou, etc. Il vous souviendra que dans l'article précédent nous avons souligné une fraude qui aurait été monté intelligemment par des agents du cadre de la douane.
En effet, suite à un rapport de la HALCIA, Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilés (en collaboration avec la direction des Enquêtes douanières qui, est chargée des contrôles postérieures en matière douanière), transmis au Parquet, la Police Judiciaire est entrain de procédée à des interpellations de douaniers et d'opérateurs économiques.
Une Très Grande Découverte au Niger!
Le Sam 03 mars 2012
Par Biacorp
Alors que tous les scientifiqes du monde entier s'entêtent à vouloir décéler la magie qui réside dans la construction des Pyramides de l'Egypte, ils ne se sont pas une seule fois posés la question à savoir si ces dites pyramides sont les seules qui existent au monde ou pas.
Pour le Niger, c'est une toute première mais mieux encore c'est un miracle, car l'existence d'une Pyramide au Niger plus précisément dans la Région de Zinder a été prouvé par un nigérien qui, à travers ces périlleuses études hiéroglyphiques a su découvir l'emplacement exact de la Pyramide. Cet homme est à encourager et à soutenir pour qu'il puisse aller loin dans ses recherches. Peut être, sauras-t-il atteindre là où les plus grands ont échoués.
LUTTE TRADITIONNELLE, Incroyable mais Vrai!
Le Sam 03 mars 2012
Levée de l’immunité parlementaire des députés: La Majorité à l’épreuve
Le Sam 03 mars 2012
Par Biacorp
L’Assemblée Nationale est convoquée en session ordinaire dont les travaux s’ouvriront le 7 mars prochain. Au cours de cette session des lois qui durera trois mois, les députés nationaux auront également à se pencher sur la levée de l’immunité parlementaire de treize (13) de leurs collègues trempés dans des malversations financières relativement aux fonds destinés à la Commission Electorale Nationale Indépendante qui a organisé le Référendum qui a accouché de la 6ème République.
Plusieurs Officiers Supérieurs des Douanes interpellés à la P.J.
Le Sam 03 mars 2012
L’Assemblée Nationale sera dissoute au cours de cette année 2012
Le Sam 03 mars 2012
Par Source
Selon des sources proches de la majorité au pouvoir, l’Assemblée Nationale du Niger sera dissoute au courant cette année 2012, sans pour autant préciser la date de cette dissolution.
En effet, d’ores et déjà un parti politique de la majorité a instruit ses sections régionales à commencer la préparation des dossiers des candidatures aux élections législatives anticipées qui seront très bientôt organisées au Niger.
Ce matin, une source d’un parti politique de la majorité qui a requis l’anonymat, a indiqué à directniger.com que la raison principale de cette entreprise de dissolution de l’Assemblée Nationale est liée aux menaces de rejet de la demande du Gouvernement relative à la levée de l’immunité parlementaire de huit (08) députés nationaux dont cinq (05) de l’opposition et trois (03) de la majorité.
En effet, depuis la convocation pour le 7 mars prochain, de la première session ordinaire de l’Assemblée Nationale au titre de l’année 2012, certains députés de la majorité et surtout de l’opposition politique affirment à qui veut les entendre que le Gouvernement sera désapprouvé par les élus nationaux qui ont créé un bloc commun en vu de rejeter les huit demandes de levée de l’immunité parlementaire.
Le Conseil Constitution de Transition à l’Epreuve ?
Le Sam 03 mars 2012
Par N.A pdt du MPDNP
Saisi par une requête de douze (12) députés de l’opposition, à l’effet de constater la violation des articles 52, 39, 41, 50, 74 et le préambule de la constitution du 25 novembre 2010, le Conseil Constitutionnel de Transition a rendu, le 15 février 2012, l’arrêt n°05/12/CCT/MC.
Dans cet arrêt, le Conseil dit que : le député bénéficiaire des marchés publics n’a pas respecté l’interdiction posée par l’article 52 de la Constitution ; le Ministre signataire des contrats incriminés a méconnu les dispositions de l’article 39 de la Constitution ; mais, il n’y a pas violation des articles 41, 50 et 74 de la Constitution.
Dans un communiqué de presse rendu public, le vendredi 24 février 2012, le CCT a cru devoir apporter des clarifications à propos de son arrêt, qui a suscité des interrogations et des commentaires dans l’opinion. Cette nouvelle trouvaille du CCT pour répondre aux interrogations soulevées par ses décisions aux moyens de communiqués de presses est une très bonne chose en ce qu’elle permet d’ouvrir le débat sur les arguments et les motivations, qui sous-tendent ses prises de positions. Que faut-il retenir de la valeur juridique de ces types de communiqué de presse ? Est-ce qu’on est devant un cas de communiqué-arrêt qui a la même valeur juridique que l’arrêt dont il semble vouloir préciser ? S’agit il d’une innovation et qu’elle sera sa place dans notre ordonnancement juridique ?
L’ARN appelle les partenaires du Niger à être plus regardants sur les marchés publics
Le Sam 03 mars 2012
Par Biacorp
L’Alliance pour la réconciliation nationale (ARN) a appelé hier mercredi 29 février 2012, les partenaires techniques et financiers de l’Etat du Niger à «exiger des Autorités actuelles la mise en œuvre des conditions de transparence et d’équité dans l’octroi des marchés publics qu’ils financent».
Cet appel des partis politiques de l’opposition, s’adresse plus ou moins à la communauté des bailleurs de fonds et intervient une semaine après que le chef de gouvernement se soit amené depuis le 22 février dernier à demander l’annulation pure et simple d’un marché public attribué à un député national, en violation de l’article 52 de la constitution qui interdit à un élu du peuple, de soumissionner à une offre de marché public.
L’annulation de ce marché public qui a été annoncée en conseil des ministres d’hier mercredi 29 février 2012, est une suite que le gouvernement a voulu donner à l’arrêt rendu par le conseil constitutionnel de transition qui a imputé une violation de la constitution, au député bénéficiaire dudit marché et aux ministres signataires des contrats d’adjudication.