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Le vendredi 16 avril 2013, la Haute autorité de lutte contre la corruption et les infractions assimilées (HALCIA) a animé un point de presse pour faire la situation de ses activités. A cette occasion, le président de cette institution a toutefois tenu à préciser que la HALCIA fait des investigations, mais jamais de recouvrement.

Il a ainsi exposé quelques 18 dossiers de détournements de deniers publics, 9 dossiers de concussion, 5 de fraudes douanières, 4 cas de délits de favoritisme, 2 cas de trafic d’influence et plusieurs cas de faux diplômes pris en charge dans une seule procédure. Les mis en cause sont des fonctionnaires de l’administration publique, des personnalités politiques y compris ceux exerçant des hautes fonctions.

C’est à partir de janvier 2012 que la HALCIA a commencé à être opérationnelle. Du coup, elle a enregistré un nombre de plus en plus croissant d’affaires de corruption et d’infractions assimilées. Les saisines viennent beaucoup plus de l’intérieur du pays que de Niamey. À la date du 31 Mars 2013, la HALCIA a enregistré 105 affaires auxquelles il faut ajouter 60 rapports provenant de l’Inspection Générale d’Etat pour exploitation tandis que la ligne verte du ministère de la Justice qui n’a en charge que les faits relevant du judiciaire lui renvoyait 27 dénonciations qu’elle estimait hors de sa compétence soit au total 192 affaires.

Depuis vendredi 19 avril, des dizaines de personnes ont été tuées dans des affrontements entre les islamistes et l'armée, à Baga, au nord-est du Nigeria. La moitié de ce village de pêcheurs, situé sur les rives du Lac Tchad, auait par ailleurs été ravagé par un incendie provoqué par les combats.

Les premières fusillades entre islamistes armés et les militaires ont éclaté vendredi à Baga, village isolé de l'État de Borno où est basé le groupe islamiste nigérian Boko Haram, responsable d'attaques sanglantes dans le nord et le centre du pays depuis 2009. Selon une source gouvernementale s'exprimant sous couvert de l'anonymat, les violences qui ont suivi tout le weekend ont fait « des dizaines de morts ».

Le chef de file de l’opposition ARN a toujours dit qu’il ne veut pas donner des chiffres. Cependant, la tentation est restée grande et le 22ème anniversaire de son parti, le MNSD-Nassara, la principale formation politique de la majorité au pouvoir sous le régime de la 5ème République a été l’occasion pour Seïni Oumarou de tirer le bilan général des dix ans de l’exercice du pouvoir.

Les résultats obtenus sur les deux mandats de la 5ème République ont été compilés dans une brochure intitulée «Le Nassara ». Cette publication est intervenue quelques jours seulement avant le 2ème anniversaire du régime de la 7ème République qui, de son côté, avait aussi édité un document intitulé «Bilan des deux ans du programme de la Renaissance ». L’ancien Premier Ministre Seïni Oumarou a fini par présenter un chiffre. Ce qui peut permettre d’effectuer un rapprochement entre les chiffres de réalisations des deux ans du gouvernement de la renaissance de Issoufou Mahamadou et ceux du bilan des 10 ans de la 5ème République.

Tendanciellement est-ce que le gouvernement de Brigi Rafini est sur une bonne trajectoire ? Ou en d’autres termes, est-ce qu’il est en mesure de s’aligner sur le gouvernement de Seïni Oumarou et éventuellement tirer les choses vers le haut pour faire mieux ? Le tableau comparatif qui a tablé sur les données des réalisations, notamment dans les secteurs sociaux est très illustratif. Décryptage des résultats En 10 ans de gestion, le gouvernement de la 5ème République réalise une performance nette dans la construction des cases de santé avec un chiffre de réalisation de 2500. Le gouvernement de la renaissance n’a, peut-être pas retenu l’option des cases de santé, en tout cas, il n’en a réalisé aucune.

Le Mouvement National pour la Société de Développement (Mnsd-Nassara), l’une des plus grandes formations politiques de notre pays, a commémoré le 22ème anniversaire de sa création le 31 mars 2013 au Palais des Sports de Niamey.

Cette importante manifestation politique a drainé une foule nombreuse. Ce jour-là, à telle enseigne que le lieu choisi pour la circonstance n’a pu contenir ce beau monde constitué d’hommes, de femmes et de jeunes venus des quatre coins du pays. Certains militants ont dû rester dehors pur écouter les discours de leurs leaders et ceux des partis alliés. Voilà une preuve suffisante pour dire haut et fort que le Mnsd est en réalité un grand parti politique, représenté de façon significative dans toutes les régions du Niger. Une bonne occasion pour le principal parti de l’Opposition de montrer que rien n’a entamé la vivacité du Mnsd ni émoussé sa combativité voire sa détermination à reconquérir le pouvoir.

Rien ne va plus au sein de la coordination communale du Moden FA Lumana de Téra, en effet jusqu'après la tournée historique du président du parti Hama Amadou, une crise sans précédent est née. Au moment où à Téra le Moden FA Lumana est en train de faire une percée fulgurante avec des adhésions massives, c'est en ce moment précis que choisit le sieur Issoufou Issaka, ce transhumant politique pour casser l'élan de la dite coordination.

Est-ce qu'un tavail de sap à la solde d'une autre formation politique, en tout cas cette zizanie sciemment créée par ce dernier pour saboter les acquis du parti dans cette localité n'est pas fortuite. L'on se pose énormément de questions sur son comportement, une attitude visant à déstabiliser le bureau actuel qui n'est pas en fin de mandat. Le président de la coordination communale de Téra Diogou Adamou en bon démocrate, après avoir attiré plusieurs fois l'attention de ce dernier sur ces agissements sournois et anti démocratiques, écrit officiellement une lettre en date du 7 avril au président de la coordination régionale de Tillabéry pour prendre toutes les mesures et d'y remédier conformément aux textes qui régissent le parti.

La sécurité n’a pas de prix a-t-on coutume de dire, dans le cadre de la protection des personnes et de leurs biens. Ce n’est pas toujours qu’un fils prodige mette son savoir et savoir faire à la disposition du grand public sans en attendre quoi que ce soit en retour.

L’appel du terrain à retentit dans sa conscience et le voilà mettant de grands chantiers dans le domaine au service de sa nation. Après de longues années de formation et la capitalisation d’expériences, il est désormais temps pour lui de poursuivre sur la lancée cette fois dans la vraie mission des connaissances acquises. En effet, ce dernier a pris l'initiative de créer une école privée de sécurité, la première au Niger et même en Afrique vue ses différentes notions dans ce domaine.

C'est un grand plus qu'apporte Yacine Diallo à partir de cette école, aujourd'hui malgré l'incompréhension des autres services de sécurité et de gardienage, l'école depuis un an est devenue une réalité et le lancement officiel aura lieu très bientôt. Pour notre propre sécurité, il nous faut des connaisseurs en la matière, pour éviter que notre sécurité se trouve dans les mains d'anciens délinquants, de voleurs et de trfiquants de tous genres. Les hommes de sécurité doivent suivre une formation et le lieu c'est EFOPPRIMES.

Le parc automobile de l’Etat est chaque jour écorné au Niger. Ce parc fait parti du patrimoine de l’Etat. Il doit être bien et rigoureusement géré, puisque c’est par essence un bien commun. Malheureusement, il y a trop de laisser aller dans ce domaine et cela à tous les niveaux.

Pendant que la mission fondamentale des véhicules de l’Etat est de servir les besoins de l’administration, donc du lundi au vendredi à 13H, ces véhicules restent visibles encore dans la circulation les nuits et les weekends, en tout cas des heures sans activités administratives. Nous ne cessons de le dire, l’Etat doit se respecter et mettre fin à cela. Il y va de la bonne gouvernance et du respect du bien public. Pour le moment, il y a trop de désordre dans la gestion de ces véhicules dans notre pays. Il suffit de prendre une trentaine de minutes pour observer la circulation dans la capitale les nuits et les jours non ouvrables pour attraper la tête, si on est un vrai patriote.

Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, vient d’effectuer une visite de 48h dans notre pays. La coopération économique et politique était au centre du séjour, chez nous, du numéro un iranien. Nos deux pays entretiennent des relations diplomatiques depuis 1975, renforcées en 1987 avec l’ouverture de l’Ambassade d’Iran au Niger.

Les attentes des nigériens, de cette visite, dirigeants comme citoyens, sont grandes. Une visite qui n’a rien d’étonnant ou d’encombrant pour nous, car notre pays est un Etat souverain qui peut avoir ses amis, ses fréquentations sans l’autorisation préalable d’un quelconque tuteur ; et l’Iran une puissance émergente. D’ailleurs, chaque fois que nos dirigeants prennent des décisions, posent des actes qui vont dans le sens de l’intérêt général, ils sont suivis et soutenus fortement par tous, au-delà des sensibilités ou des appartenances politiques et de tous ordres. C’est donc un acte de souveraineté, plus qu’un acte de gouvernement, que vient de poser le Président Issoufou Mahamadou. L’intérêt supérieur de notre pays n’est pas à confondre à celui d’un autre Etat.

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad

a achevé mardi à Niamey une visite de

48 heures au Niger, officiellement

sans avoir évoqué l’uranium,

dont Niamey est pourtant l’un …